Aujourd'hui qu'adviennent
les erreurs que nous pouvons croire,
Et les histoires dérisoires, je ne crois pas en moi sans toi,
Et qu'à l'aube de mes dérives, les chemins se perdent,
Entre le sang de nos malheurs, que disparaissent mes putains de chimères
Et les histoires dérisoires, je ne crois pas en moi sans toi,
Et qu'à l'aube de mes dérives, les chemins se perdent,
Entre le sang de nos malheurs, que disparaissent mes putains de chimères
Et puisque comprendre de
travers les idées souvent lésées,
Des contraires, des dédales, complètement désinhibés,
Le sens n'est pas forcément dans toutes les écritures,
Je ne veux pas forcément mettre partout, des mots durs.
Des contraires, des dédales, complètement désinhibés,
Le sens n'est pas forcément dans toutes les écritures,
Je ne veux pas forcément mettre partout, des mots durs.
Tout autour se tassent,
des rêves qui ne me touchent pas,
Des signes d'affection que je ne verrais plus pour ma part,
C'est blessant de voir que chez les autres tout va bien,
Qu'ils font tous ce dont je rêve et que moi, pauvre con, je n'aurai rien.
Mais pourquoi je continue à me taillader le corps,
J'avance, je continue, j'en ai marre de ces efforts...
Des signes d'affection que je ne verrais plus pour ma part,
C'est blessant de voir que chez les autres tout va bien,
Qu'ils font tous ce dont je rêve et que moi, pauvre con, je n'aurai rien.
Mais pourquoi je continue à me taillader le corps,
J'avance, je continue, j'en ai marre de ces efforts...
J'en suis revenu au point
où je dois cracher ma haine,
Sur des feuilles, des lignes, pas capable de crier dans les oreilles,
J'écris comme un forcené, obligé, pour pouvoir se calmer,
Pleurer n'avance à rien, si ce n'est que je vais pouvoir me noyer...
Sur des feuilles, des lignes, pas capable de crier dans les oreilles,
J'écris comme un forcené, obligé, pour pouvoir se calmer,
Pleurer n'avance à rien, si ce n'est que je vais pouvoir me noyer...
À
coté, loin de tout, je continue le cours de mes pensées,
Mes mains s'activent, machinalement, j'ai mal à en saigner,
Je ne peux plus m'empêcher de mettre en scène autant de sang d'esclaves,
Au cours des années, ça me fait autant de bien que de mal...
Mes mains s'activent, machinalement, j'ai mal à en saigner,
Je ne peux plus m'empêcher de mettre en scène autant de sang d'esclaves,
Au cours des années, ça me fait autant de bien que de mal...
Répandre
derrière tout ça, une traînée de mauvaises images,
Les apparences sont trompeuses, même si on y voit que de la rage,
Les meurtrissures ne sont qu’apparentes dans son sillage,
Les apparences sont trompeuses, même si on y voit que de la rage,
Les meurtrissures ne sont qu’apparentes dans son sillage,
Peut être
même, que je ne suis qu'un simple mirage...
Extrait de Noir D'Encre, paru en Décembre 2011.
Texte N°07/35 - Chapitre Unique : Quand La Folie Reine
Texte N°07/35 - Chapitre Unique : Quand La Folie Reine